En PluriPASS, la préoccupation principale des étudiants est de travailler. Cependant, pour être efficace dans son travail, il faut être dans de bonnes conditions : être dans un environnement de travail sain, et veiller à garder une bonne hygiène de vie.

Pourquoi ?

Pour être efficace, votre cerveau aura besoin d’être chouchouté pendant l’année. Cela passe par une alimentation équilibrée, des pauses régulières et du sport pour lui apporter sa dose d’oxygène.

De plus, pour pouvoir tenir un tel rythme de travail toute l’année, il faudra penser à vous aérer l’esprit, vous accorder des moments pour vous, entre amis, etc…

Comment ?

Pour être passés par là, nous savons qu’en PluriPASS, on n’a pas toujours le temps de bien faire. C’est pourquoi la cellule santé s’efforce de vous accompagner au mieux toute l’année :

  • Des séances de sport régulières, pour vous permettre de sortir, de changer d’air tout en rencontrant d’autres étudiants.
  • Des séances de relaxation, pour vous aider à décompresser et vous donner quelques outils pour gérer votre stress pendant l’année.
  • Des moments cohésion pour vous permettre de vous divertir et de rencontrer des étudiants de votre promo et des années supérieures
  • Des permanences d’échange, où des étudiants d’années supérieures répondront à vos questions sur différents thèmes (méthodologie, orientation, …)
  • Une présence à différents moments clés du tutorat (examens blancs, oraux blancs, perm’colles pour les S3, …)
  • Des conseils sur l’alimentation, le sommeil, la gestion du stress, etc… Tout pour continuer d’avoir une bonne hygiène de vie cette année.

« Je pense que tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais. » X. Dolan

Comment bien vivre son année ?

Sommeil

Il est impératif pour reposer corps et esprit

La phase d’endormissement – bâillements, fatigue des yeux – correspond au pic de mélatonine, l’hormone du sommeil. Si ce pic est manqué, vous devrez attendre une heure et demie avant d’en ressentir à nouveau les effets. D’où la nécessité d’écouter son corps et la sensation de fatigue.

Quelles sont les gênes au sommeil ?

Une trop grande luminosité bloque la production de mélatonine. Il est par conséquent nécessaire de limiter l’exposition aux écrans le soir, ou a minima d’installer un filtre antilumière bleue comme le logiciel F.Lux.

L’importance du sommeil ?

Les premières phases du sommeil permettent de reposer le corps, et c’est seulement après que l’esprit se repose et organise sa mémoire à travers le sommeil paradoxal. Il est donc crucial de dormir suffisamment.

Efficacité et repos ?

Notre rythme biologique est caractérisé par des périodes d’éveil et de somnolence – qui varient plus ou moins d’un individu à un autre – et c’est en suivant ce rythme qu’on tend à être efficace. Ainsi durant les moments de faible vigilance : se reposer, faire une sieste… permet d’optimiser son efficacité et d’avoir plus d’énergie.

Lucie, 2e année de médecine

« J’ai toujours eu des difficultés à m’endormir et à dormir plus de quelques heures ; mais cette année avec le concours c’est devenu problématique. Les premières semaines de cours demandent beaucoup d’énergie, mais par peur de prendre du retard, certains négligeront leur sommeil. Au début du premier semestre, bien qu’étant fatiguée, j’arrivais à rester efficace donc je n’ai pas cherché à dormir davantage. Mais à partir de mi-octobre, j’ai commencé à sentir une différence : le premier examen m’avait épuisée. Sauf que plutôt que d’essayer de dormir davantage, je me suis mise à travailler de plus en plus tard : d’abord jusqu’à 23h, ensuite minuit, puis 1h30-2h. Si bien que le matin je n’arrivais pas à me lever, je loupais les deux premiers cours, en journée je n’avançais pas ; et moralement j’étais dépassée. Passé l’examen de novembre, j’ai pris conscience que je n’allais pas réussir à tenir si je ne changeais pas mes habitudes. Du coup, j’ai fait une liste des choses à changer. Tout d’abord, dormir suffisamment : pour moi, c’est entre 7 et 8h – mais si certains ont besoin de plus de sommeil, par exemple 10h, et bien dormez ! Peu importe le nombre d’heures que dorment les autres, l’important c’est vous. Ensuite, favoriser mon sommeil : le matin je me suis mise à faire mon lit ; le soir j’essayais de passer moins de temps devant les écrans. Enfin, j’ai appris à me reposer : lorsque j’en ressentais le besoin je faisais une courte sieste d’1/2 heure ou une heure. Et le soir j’arrêtais de travailler au moins 30 mn avant de dormir, et je faisais quelque chose que j’aimais comme dessiner ou lire. L’examen de décembre a été moins compliqué émotionnellement car j’étais reposée, puis j’ai profité des vacances de Noël pour me ressourcer et dormir. Si bien que j’ai beaucoup mieux vécu mon deuxième semestre, parce que je prenais soin de moi. »

Sport et loisirs

Entretenir son corps, maintenir son moral

C’est un moment pour soi, qui permet de se détendre et de s’oxygéner. Il peut s’agir d’une activité physique à proprement parler, ou bien de petites sorties comme la marche, ou encore un trajet à vélo.

Où faire du sport ?

La Cellule Santé organise régulièrement des séances de sport (renforcement musculaire, running…). Ces moments sont encadrés par les années supérieurs et les membres de la cellule, c’est l’occasion d’échanger avec eux, de plaisanter et de se détendre. Vous pouvez également pratiquer une activité sportive avec le SUAPS. Enfin, plus simplement, vous pouvez planifier de courts moments chaque jour pour faire un peu de mobilisation et quelques étirements. Pensez à sortir prendre l’air chaque jour.

Concrètement ?

Tout est question d’organisation, prenez soin de planifier en amont vos temps libres. Il faut également trouver un équilibre : s’accorder suffisamment de temps libre MAIS rester raisonnable, et ne pas s’épuiser au sport.

Agathe, 2e année de pharmacie

« Durant ma P1, j’étais inscrite au conservatoire, je faisais du sport, et je me promenais près de 3h par semaine. Pourquoi avoir fait tout ça ? Je n’arrivais pas d’Angers, mais de Paris. Je ne connaissais personne, et la musique a été un moyen de me faire des amis. Et c’était surtout l’occasion de voir et de parler à des gens qui étaient en dehors du concours. Vous vous dites peut-être que ça me demandait trop de temps, mais en réalité la musique c’était ma bouffée d’oxygène. Quand j’entrais au conservatoire la P1 restait devant la porte. Bien sûr pour faire tout ça, il faut s’organiser. Mais, au deuxième semestre j’ai commencé à me sentir moins bien, ce sont des choses qui arrivent avec le concours. Du coup, j’ai supprimé quelques heures de musique et je les ai remplacées par des heures de sport avec la Cellule Santé. Et je m’accordais du temps pour faire des exercices – des squats, des abdos… – pendant que je faisais ma vaisselle ou durant les inter-cours. J’avais besoin de ça : peut-être que la P1 me rendait mal moralement, mais j’avais besoin de me dire que physiquement je me sentais bien, que mon corps me plaisait. Ces temps libres m’ont aussi aidée dans mes cours : j’ai compris énormément de cours en faisant une pause, en allant marcher, en m’arrêtant. En faisant des pauses, je laissais le temps à mon cerveau de visualiser les choses autrement. »

Alimentation

Bien manger, mais faites-vous plaisir

Tout d’abord, organisez-vous des temps de repas. Évitez le grignotage et ne mangez pas pendant le travail : vos pauses repas doivent être un vrai moment de césure pour vous ressourcer et vous détendre. Un repas doit durer au moins 20 minutes. De plus, c’est l’occasion de partager un moment avec d’autres étudiants au RU ou avec votre famille. En journée, vous pouvez consommer quelques encas pour fournir de l’énergie à votre cerveau : des noix, des fruits… Il est également important de commencer la journée par un vrai petit-déjeuner.

Quelques astuces ?

Ramener des gamelles de chez ses parents. Cuisiner en grande quantité pour toute la semaine. Faire des recettes nécessitant peu de surveillance et cuisant à feu doux pour pouvoir réviser en même temps.

Adèle, 2e année de pharmacie

« Durant la P1 tout est question de juste mesure, l’alimentation est un moyen de s’accorder du réconfort, mais aussi de prendre soin de son corps. Chaque nutriment est utile, il est donc important de manger de tout. Cette année vous serez tenté de ne manger que des pâtes, du riz, des gâteaux… pas tant par manque de temps, mais par manque d’envie en vous installant dans un traintrain quotidien… Une bonne astuce est alors de faire des salades, mélangeant légumes et féculents, et notamment des lentilles. Vous aurez besoin de sucre pour votre cerveau, de fer et de magnésium pour vous lever le matin, et de tout un tas de nutriments pour vous concentrer. L’alimentation sera aussi l’une de vos principales sources de plaisir. Ne pensez pas que vous n’avez pas de temps pour cuisiner ou vous poser pour manger ! Nous sommes passés par là nous aussi et on a pris ce temps sans avoir à le regretter. »

Entourage

L’importance du soutien

Qui ?

L’ensemble de la communauté qui vous entoure. Votre famille, vos amis, les autres étudiants, le tutorat.

Barbara, 2e année de pharmacie

« Cette année, tous mes amis étaient dans des formations différentes, et beaucoup plus loin, et dans ma famille personne ne connaissait le principe des études de santé, donc on a découvert ensemble la pression et la quantité de cours à apprendre. La P1 a été pour moi une véritable expérience humaine ! Il y a beaucoup de choses qui se disent, selon lesquelles on finirait complètement seul dans son appartement entouré de tas de cours. Mais ce n’est pas forcément vrai. Cette année m’a énormément appris sur moi : j’ai appris que j’avais besoin d’être entourée, que je ne pouvais pas rester enfermée tout le temps. Je suis sortie un peu et j’ai rencontré des gens, mais j’ai gardé l’objectif d’avoir mon année. Ça m’a aidée à ne pas me sentir frustrée de ne pas sortir autant que mes amis dans d’autres facs. Ça m’a également permis de faire du tri dans mon entourage : je me suis rendue compte que les personnes avec qui je m’amusais au lycée ne partageaient pas forcément mes valeurs, c’est donc un tri qui se fait naturellement. Mais ces départs se font au profit de nouvelles rencontres. En effet, cette année, d’autres personnes sont entrées dans ma vie notamment grâce au tutorat, au parrainage, à la pré-rentrée… ou tout bêtement durant les pauses en amphi en discutant et en plaisantant parce que le prof est arrivé en retard… Tout ça pour dire que vous allez apprendre plus que le contenu des QCM, vous allez apprendre sur vous, sur ce dont vous avez besoin. Oui cette année demandera des sacrifices, mais vous pouvez être accompagné, et les personnes qui vous entourent sauteront de joie avec vous quand vous aurez réussi. »

Stress

Le stress est NORMAL

Objet de beaucoup de conversation, le stress fait beaucoup parler en première année.

Sur ce graphique on peut voir qu’un niveau de stress faible correspond au sommeil et à l’ennui. On peut avoir un « bon stress » qui peut entrainer une élévation de la performance. Là où ça devient un problème c’est quand le niveau de stress va s’élever, entrainer de la fatigue et la sensation d’être submergé.

En faisant attention à son hygiène de vie (sommeil, nourriture, activités…) on peut se maintenir dans une zone de performance élevée.

Marie, 2e année de maïeutique

« Comme vous l’avez peut-être déjà ressenti, de par le concours, Pluripass est une année stressante et ce stress est parfois difficile à appréhender. Cette année a été difficile pour moi. Je suis d’un naturel stressé et c’est vrai que le concours ne facilite pas les choses. Au début de l’année, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, en plus je venais d’un bac ES donc je me sentais en retard par rapport aux autres. J’étais souvent paniquée et j’avais l’impression que tout le monde travaillait plus et mieux que moi et que je devais constamment devoir rattraper ce train qui me semblait inaccessible. Cette sensation est difficile à gérer, il m’est arrivé de craquer, et même de douter sur ma place dans cette filière. Le stress venait par vagues, dès fois ça allait, et souvent beaucoup moins. Plus l’année passait, plus j’arrivais à trouver des techniques de travail qui me convenaient, et ça c’est rassurant. Et puis, on s’habitue à cette pression. C’est agréable de finir par comprendre un cours qui nous semblait impossible de premier abord. Vous allez voir, le travail paye. Les périodes pré-examens sont souvent angoissante, mais le système Pluripass fait qu’on peut rattraper ses notes si besoin, sinon les maintenir. Et personnellement, le tutorat ainsi que les amis que j’ai rencontré cette année m’ont beaucoup aidé à me sentir mieux. Être seule face aux autres n’est à mon avis, pas toujours la bonne solution. L’année me semblait longue au jour le jour, mais au final, quand on arrive en avril, tout semble être passé très vite. Enfin, cette année, bien que difficile, m’a permis de me rendre compte de ce dont j’étais capable. Et la réussite du concours apporte une fierté personnelle énorme. On se dit « ça y est, je l’ai fait ». Du coup, si je peux me permettre de vous donner un conseil, c’est de vous dire que quand c’est difficile pour vous, et ça le sera, ça l’est aussi pour les autres, même les meilleurs. Vous pouvez réussir, et même si ce n’est pas toujours facile, croyez en vous ! Vous ne le regretterez pas ! Bon courage à tous. »

Apprendre à connaître son corps

  • Identifier les sources de stress : ma vie personnel/familiale me stresse, je me mets beaucoup d’objectifs. Faire des listes.

  • Trouver des astuces, sources de bien être : Organiser des rendez-vous avec des gens en dehors de Pluripass pour parler d’autres choses

  • Trouver une méthodologie de travail : parler avec des tuteurs pour en parler

  • Organiser une journée/semaine type comprenant le travail et les loisirs : prévoir les pauses, les courses, les temps de travail. Mettre un temps pour travailler pour être plus efficace. Couper les réseaux sociaux

Quand tu te sens submergé, n’hésite pas à en parler autour de toi (famille, amis, SUMPPS)

Perspectives d’échec et de réussite

Sophie, 3e année de médecine

« Etant une personne extrêmement stressée, au-delà du stress, ce qui a été difficile à gérer est la peur de l’échec. Ça peut être difficile à concevoir car j’ai eu des très bons résultats dès le premier semestre, mais ça n’empêche pas qu’on ne peut pas vivre son année en ayant de bons résultats. Ce n’est pas parce que vous vous sentez mal que vous êtes stressés que vous allez rater. J’avais tout le temps peur de rater et je me comparais aux autres alors qu’il n’y avait aucune fondation rationnelle. Tout le monde me le répétait que j’allais l’avoir. Un certain niveau de stress peut nous faire faire des films et être à un mode de vie différent. C’est important aussi quand on côtoie quelqu’un qui ne va pas bien de ne pas hésiter à en parler à leur entourage. Les gens ne se rendent pas forcément compte surtout quand ils ne connaissent pas le milieu de PluriPASS. Je m’étais beaucoup appuyée sur ma famille. »

Margaux, 3e année de médecine, majore du S3

« Ma P1 je ne l’ai pas eu à quelques places près. Je voulais absolument médecine. C’est difficile de se dire qu’à quelques places, j’ai raté mon objectif. Mes parents m’ont dit « Non, continue, ne cherche pas à comprendre, tu veux médecine et rien d’autre, donc tu fais le S3 » Je l’ai fait. Mais assumer mon échec m’a demandé beaucoup de temps. Encore maintenant, je reste persuadée que les connaissances je les avais, que ma méthode de travail n’était pas mauvaise. C’est juste que toute la partie sur l’hygiène n’allait pas. Je faisais 3 à 4 fois par semaine du basket, et en P1 je n’ai pas fait de sport pendant 1 an. J’avais une vie sociale et pendant un an je n’ai pas vu mes amis. J’ai eu du mal à faire le S3 parce que je me suis dit que je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même d’avoir raté. J’avais énormément de regrets. J’ai fait cette remise en question, et après je me suis dit « Bon tu attaques le S3 c’est ta dernière chance. » Avant le S3 j’ai écouté cette réunion que vous avez en ce moment, et j’ai pris une claque. Je me suis dit « Mais Margaux qu’est-ce que t’as été bête, là tu vois ce sont des gens qui ont atteint leur objectif, et qui en plus ont fait du sport, ont eu une vie… » J’ai vraiment réalisé que cette part d’hygiène de vie c’est beaucoup plus qu’un détail, et ça peut jouer pour la réussite du concours. J’ai réalisé que l’hygiène de vie pouvait jouer sur la réussite du concours. Pendant mon S3 j’ai fait du sport 1h par jour, j’ai fait quelques soirées… J’avais un planning plus adapté, pendant ces trois mois j’étais épanouie. J’ai abordé le concours sans stress, j’ai mis toutes les chances de mon côté. On n’avait pas encore les résultats, mais j’étais tellement fière de moi ! Je ne savais pas encore si j’avais médecine, mais je savais que j’avais tout donné, j’avais bien travaillé, j’avais une bonne hygiène de vie, j’étais vraiment super contente ! Quand j’ai vu que j’avais médecine, j’étais encore plus heureuse !  Je ne suis certainement pas l’exemple à suivre, d’attendre de faire le S3 pour se rendre compte qu’on a péché. Moi pendant un an je me suis butée dans mon mode de vie qui était vraiment pourri. Donc je vous souhaite vraiment plein de réussite, entamer votre année d’un bon pied dès maintenant, et vous aurez toute la réussite que vous méritez. Je vous souhaite bon courage. »

Consulter au SUMPPS pour rencontrer un professionnel de santé

Pourquoi venir consulter ?

Quand tu te sens submergé, que tu n’arrives pas à dormir à cause de questions, que tu te sens triste, anxieux, angoissé, que tu n’arrives plus à manger, que tu as des idées noires, rater les premières évaluations, être perdu, se sentir seul.

Il y a autant de raisons de consulter que de personnes.

Comment se passe la rencontre avec le professionnel ?

Vous êtes reçu par un professionnel qui vous accueille et écoute et qui vous aide à comprendre ce qui se passe. C’est un espace confidentiel qui permet de trouver des réponses et rebondir. Il n’y a aucun ENGAGEMENT, tu peux venir une fois et ne plus jamais revenir comme tu peux prendre plusieurs séances avec un professionnel.

Concrètement comment je fais ?

Appel secrétariat pour une prise de rendez-vous : 02 41 22 69 10

Adresse : 2 Boulevard Victor Beaussier, 49000 Angers

Les idées reçues et les freins à cette démarche 

C’est trop loin, je n’ai pas le temps.

Le temps pris pour aller mieux est du temps gagné pour réussir son travail. Les mauvaises pensées peuvent vous freiner dans votre avancée. Parfois, même avec le sport et les amis on n’arrive pas à aller mieux.

Je n’ai rien de grave, il n’y a pas que moi, j’ai une vie normale.

Il n’existe pas d’échelles de mal être, parfois il peut ne pas y avoir d’évènements particuliers. Parfois une phrase, une rencontre peut réveiller quelque chose qu’on ne soupçonne pas.

Ça va passer, je vais me débrouiller tout seul, je n’ai besoin de personne.

Peut-être, mais si ça dure il vaut mieux essayer une autre méthode et venir au SUMPPS.

Il vaut mieux régler le problème au plus vite pour que le stress n’ait pas de répercussion sur le sommeil, l’alimentation… Parler, c’est percer l’abcès, trouver de nouveaux angles pour envisager un problème et trouver des solutions.

VOUS ETES DES FUTURS SOIGNANTS, IL FAUT SAVOIR PRENDRE SOIN DE SOI AVANT DE PRENDRE SOIN DES AUTRES.